Plasticien aux multiples facettes, IPIN questionne le statut du graffiti dans les arts. Ses interventions se font dans la ville en contact direct avec les passant, interrogeant leur quotidien et les interpellant : voyez-vous vraiment ? Les formes géométriques, les symétriques construisent des anamorphoses et cachent des dystopies graphiques, lézardes fissurant le mur et qu’un changement de perspective suffit à révéler.
Dernier bâtiment (ancienne salle de traçage) des chantiers navals de la ville fermé en 1966 et reconvertis en logements et commerces vers 1985. Ipin a apposé un jeu graphique sur les ouvertures où se cache un jeu typographique egocentré sur la face ouest (!iPiN!) puis tournant autour du bâtiment, une trame en points qui se développe. Cette trame est progressivement perturber par une seconde trame d'impacts de gouttes. Trame industrielle vs trame organique, voir humaine…

Réalisation:

Localisation:

La Respelido

Adresse:

6-8 avenue de la mer